Conclusion

Joël Sternheimer est le précurseur d'une théorie osée, il prétend que la musique a un impact sur les plantes. Et plus précisément, il s'agit d'une succession de notes formant la protéodie. Lorsque l’acide aminé se fixe au niveau du ribosome, il émet un signal : celui-ci est traduit par un mécanisme complexe en ondes d’échelle, ces dernières étant des ondes qui font le lien entre le signal émis par un acide animé s’attachant au niveau du ribosome et le reste de la protéine en formation. Ensuite celles-ci sont transposées dans le domaine des fréquences audibles par l’homme. On obtient de cette façon un code universel. En utilisant ce dernier, on peut créer une mélodie appelée protéodie, capable de stimuler ou d’inhiber la synthèse d’une protéine en faisant écouter cette protéodie à un être vivant concerné. C'est exactement la démarche que nous avons suivie pour réaliser notre expérience sur les haricots nains. Ces mécanismes ouvrent des possibilités dans de nombreux domaines comme l'agriculture, la médecine, l'agroalimentaire etc.

 

Schéma-bilan du procédé soutenu par Joël Sternheimer